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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 06:45

 

    miserablesTéléfilm en deux parties de 120 minutes chacune 

Diffusion : les jeudis 21 et 28 septembre 1972 à 20h30 sur la 2ème chaîne de l'ORTF 

Réalisation, adaptation et dialogues de Marcel BLUWAL

Distribution :

Georges GERET (Jean Valjean)

Nicole JAMET (Cosette, jeune fille)

Vanina VINITSKY (Cosette, enfant)

François MARTHOURET (Marius)

Bernard FRESSON (Javert)

Lucien NAT (M. Guillernormand)

Gilles MAIDON (Gavroche)

Alain MOTTET (Thénardier)

Micha BAYARD (la Thénardier)

Hermine KARAGHEUZ (Eponine)

Joëlle QUENTIN (Azelma)

Anne-Marie COFFINET (Fantine)

Georges LEWIS (Pontmercy)

Jean-Luc BOUTTE (Enjolras)

Alain DORVAL (Combeferre) 

Mario PACQUEUR (Coufeyrac)

Jean-Pierre SENTIER (Prouvaire)

Fabrice DAGUE (Feuilly)

Jean-Pierre MELIAU (Bahoral)

Jean LESCOT (Laigle)

Olivier LEBEAU (Joly)

Germaine DELBAT (Toussaint)

Raymond BAILLET (Louis-Philippe)

François VIBERT (Monseigneur Myriel)

Raymond VATTIER (Mlle Guillernormand)

Roland BERTIN (Grantaitre)

Julien VERDIER (Mabeuf)

Jean OBE (Babet) Robert DALBAn (Brugeon)

Dominique ZARDI (Montparnasse)Renée GARDES (La Brugeon) Aude ECHELARD (la postière) Roger LARCEBEAU (Basque)

et

Serge MARTINA

Paul BESSET

Max MOREL

Jacques BOUVIER

Alain MCMOY  

Nicole DESAILLY

Fred PERSONNE

Max DESRAU      

Première partie : La Masure Gorbeau

Deuxième partie : L'Epopée, rue Saint-Denis

Thème : deux jeunes gens, Cosette et Marius, sont au chevet d'un vieil homme mourant, Jean Valjean, qui évoque sa vie... 

Commentaires : Tout à la fois réalisateur, adaptateur et dialoguiste et même récitant (il est la " voix off" qui relie les différents épisodes), Marcel BLUWAL livre ici une vision très personnelle du roman fleuve de Victor HUGO, s'attachant à l'aspect politique de l'oeuvre, sans s'interdire quelques clins d'oril à l'actualité récente, les barricades de juin 1832 qui ont suivi les funérailles du général Lamarque n'étant pas sans évoquer les barricades d'un certain mois de mai. Il s'est aussi intéressé aux rapports ambigus entre Jean Valjean et Cosette dans lesquels il voit une illustration du complexe d'Oedipe et enfin à la conversion de Jean Valjean, sa relation personnelle avec Dieu. Disposant d'un budget confortable de 350 millions, d'une centaine d'acteurs et de figurants, Marcel BLUWAL au eu, pour une fois, les moyens de son ambition. Il livre une oeuvre puissante, digne des grandes heures de l'ORTF.

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 06:31
    jeudi2.jpgCette rentrée scolaire 1972 connaît un grand bouleversement dans les rythmes scolaires. Le jeudi, jusque-là jour de congé de la semaine pour l'école primaire, se trouve remplacé désoramais par le mercredi, en application des dispositions de l'arrêté du 1é mai 1972.
La rentrée des classes ayant eu lieu le jeudi 14 septembre, le changement est donc effectif le mercredi 20 septembre 1972, premier mercredi de congé de l'histoiore.
L'expression " semaine des quatre jeudis" dont Patrick TOPALOFF fit une chanson, perds aussitôt de sa pertinence.
L'ORTF tire les conséquences de ce changement. Les émissions pour la jeunesse passent tout de suite du jeudi après midi au mercredi après midi. Pour les programmes du soir, l'adaptation est plus longue. Ce n'est qu'à la mi-octobre que des émissions comme LA PISTE AUX ETOILES ou LES DOSSIERS DE L'ECRAN sont déplacés du mercredi soir au mardi soir.
En cette rentrée 1972, il est à noter que c'est le feuilleton anglais L'AUTOBUS A IMPERIALE (à partir du mercredi 27 septembre) qui recueille les suffrages des jeunes télespectateurs. Il est programmé en fin d'émission juste après LES AMIS DE ZORRO présentés par MOUSTACHE. 
 
 
 
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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 06:31

paix.jpgTéléfilm de 90 minutes

Première diffusion : samedi 2 septembre à 20h30 sur la 1ère chaîne de l'ORTF

D'aptès une pièce de Louis ROGNONI

Réalisation : Guy LESSERTISSEUR

Pierre SANTINI (Michel)

Françoise GIRET (Fabienne)

Catherine ARDITI (Denise)

Michel BEAUNE (Charles)

Henri-Jacques HUET (Laurent)

Jean VALMENCE (Georges)

Florence DUNOYER (Mathilde)

Jacques LALANDE (le gendarme)

Armand MEFFRE (Hobson)

Pierre ARDITI (Juanito)

Albert HARIVEL (le gardien)

Thème : de nos jours, en Normandie, un jeune avocat décide de démontrer l'innocence de son ami accusé de complicité de meurtre. Il va rapidement mettre au jour une abominable machination... 

Commentaires : inspiré d'une pièce policière, ce téléfilm se laisse regarder, grâce essentiellement au talent de ses interprètes. L'ensemble manque cependant de rythme et les rebondissements sont trop prévisibles.  

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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 06:22
munich.jpgCes jeux Olympiques de Munich du 26 août au 10 septembre 1972 s'annonçaient comme une grande fête du sport rassemblant 121 nations et 7134 athlètes devant près d'un milliard de téléspectateurs. 
La cérémonie d'ouverture diffusée en Mondovision à partir de 14h4 le samedi 26 août sur les 2 chaînes de l'ORTF allait être suivie par près de 82 heures d'émission en direct, principalement sur la 2ème chaîne (couleur), la 1ère chaîne se contentant de résumés ou d'épreuves en différé. Le fuseau horaire étant pour une fois identique, l'exposition médioatique était maximale.
Les commentaires des diverses épreuves étaient assurés par Christinan QUIDET, Eugène BOLLARD, Jacques PERROT, Jean RAYNAl, Jean-Michel LEULLIOT, Stéphane COLLARO, Pierre LOCTIN, Claude MAYDIEU, Etienne LALOU, Pierre FULLA et Léon ZITRONE.
Sur le plan sportif, le héros de ces Olympiades fut le nageur américain Mark SPITZ et ses 7 médailles d'or. la France, quant à elle, remporta 2 médailles d'or (MORELON en cyclisme sur piste et Serge MAURY aux épreuves de voile), 4 d'argent (Jacques LADEGAILLERIE à l'épée, Guy DRUT au 110 mètres haies, Marc et Yves PAJOT à la voile, Michel CARREGA au tir)  et 7 de bronze (4X400 mètres, Kayak, Escrime, Judo), se situant à la 17ème place dans le tableau des médailles.  
Mais ce que l'on rétiendra, hélas, de ces jeux, c'est la tragédie atroce qui vit 11 des 29 athlètes isréaliens^pris en otage puis massacrés par des terroristes de SEPTEMBRE NOIR. Les jeux furent interrompus 34 heures, puis reprirent, le spectacle devant continuer selon le mot fameux du Président du comité olympique. Officiellement il s'agissait de ne pas céder au chantage terroriste. Sans doute aussi de ne pas obérer certains intérêts économiques. 
Cette tragédie causa en Allemagne un véritable traumatisme, la ville de Munich était proche de Dachau et les plaies de la seconde guerre monduale restant encore vives. Pour l'Allemagne qui aurait tant voulu effacer les jeux olympiques de Berlin de 1936, ces jeux se terminèrent dans le drame et la confusion.   
 
 
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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 06:46

marcillac.jpgEn cet été 1972, le nouveau PDG de l'ORTF, Arthur CONTE, avec sa faconde toute méridionale, annonce à Raymond MARCILLAC, le directeur des sports et producteur des émissions TELE-DIMANCHE, MATCH SUR LA 2 et TELE-SPORTS, son exclusion de l'ORTF, quelques jours seulement avant son départ pour Munich où il devait commenter les jeux olympiques.

L'exclusion est totale, interidiction est faite à Raymond MARCILLAC d'exercer pour l'ORTF non seulement des fonctions de présentateur mais aussi de producteur. Pour que son nom n'apparaisse plus sur les écrans, il est demandé aux monteurs d'effacer son nom du générique des émissions déjà programmées.

Cela faisait des mois que plusieurs critiques lui étaient adressées, notamment de la part des parlementaires. Le rapport du sénateur DILIGENT  sur la publicité clandestine à la télévision l'avait quelque peu désigné à la vindicte populaire. On lui reprochait ses rapports familiaux avec la directrice d'une société chargée de l'achat et de la vente d'emplacements publicitaires dans les stades où se déroulaient les manifestations sportives retransmises par l'ORTF. On faisait état d'un certain trophée de golf portant le nom d'une célèbre marque de parfum. Puis une sombre affaire de fichiers de la redevance, qui auraient été vendus à une société de vente par correspondance, avait achevé de noircir le tableau.

Peut-être Raymond MARCILLAC, trop gaulliste - il était suppléant d'un député UDR et n'avait jamais caché son admiration pour le général, y compris pendant les évènements de mai 68 - et pas assez pompidolien, déplaisait-il au nouveau pouvoir qui venait de s'installer à l'ORTF

Par ailleurs, à la rentrée 1972, au nom de l'économie et du rapprochement des rédaction d'information des 2 chaînes, les équipes se voyaient radicalement bouleversées, avec les départs de Pierre DESGRAUPES, Hervé CHABALIER - qui payait un reportage contesté sur le voyage du Président de la République en Lorraine-, Joseph PASTEUR, François-Henri DE VIRIEU, Philippe GILDAS, Guy CLAISSE et Etienne MOUGEOTTE.

En cet été 1972, marqué par la démission de Jacques CHABAN-DELMAS et la nomination comme Premier ministre de Pierre MESSMER (depuis le 5 juillet 1972), à l'ORTF comme ailleurs, c'en était bien fini de la nouvelle société...

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13 août 2012 1 13 /08 /août /2012 06:23

nez.jpgTéléfilm de 80 minutes

Première diffusion : samedi 19 août 1972 à 20h30 sur la 1ère chaîne

Adaptation de Pierre CORTI et Jean FERRY

D'après Edmond ABOUT

Réalisation de Pierre BUREAU 

Distribution:Daniel CECCALDI (Me Lambert)

Corinne MARCHAND (Irma)

Angelo BARDI (Roumagnac)

ARMONTEL (le général)

Michel AMPHOUX (le valet du général)

Jacques COUTURIER (Clodomir)

Jacques FERRIERE (Ayvas Bey)

Michel CHARREL (le premier témoin)

Maurice TRAVAIL (le deuxième témoin)

Robert BENOIT (Steinbourg)

Raoul CURET (le docteur du duel)

Jacques GRELLO (le docteur Bernier)

Jean-Pierre RAMBAL (Me tripette)

Bernard SPIEGEL (le clerc Pierre)

Roger TRAPP (le clerc Paul)

Josiane LEVEQUE (la générale)

Marius LAUREY (un cocher)

Max MONTAVON (un cocher)

Nadine NABOKOV (Hortense)

Alexis DUMAY (le valet)

Guy LARRAS (le maître d'hôtel) 

Thème : vers 1860, à Paris etVille-d'Avray, un notaire qui a perdu son nez dans un duel tente de racheter un peu de chair pour refaire son nez à un pauvre diable sans le sou. Mais l'argent peut-il tout acheter?

Commentaires : Edmond ABOUT, à qui on doit L'HOMME A L'OREILLE CASSEE a écrit un roman à la fois burlesque et féroce à qui cette adaptation un peu fade ne rend pas tout-à-fait justice. La mise en scène trop sage de Pierre BUREAU est heureusement compensée par l'abbatage des comédiens dont Daniel CECCALDI, Angelo BARDI et surtout ARMONTEL, l'homme aux 350 rôles au cinéma.  

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6 août 2012 1 06 /08 /août /2012 06:00

budart.jpgFeuilleton de 20 épisodes de 15 minutes

Diffusion : du lundi au vendredi à 20h15, sur la 1ère chaîne, à partir du mardi 8 août

Divertissement conçu et réalisé par André VOISIN

Distribution :

Roger RIFFARD (Budart)

Maurice LEBE (Albert Lemorel)

Marie FERO (Thérèse Lemorel)

Daniel LALOUX (Philippe Dernac)

Christine AUDHUY (Sylvaine Dornac)

Philippe ENGRAND (Raymond Budart)

Alain SACHS (Hugues Lemorel)

Jacques CHAILLEUX (Pierrot)

Dominique DENIS (Radar)

Rachel BOULENGER (Marcelle)

Raymond DEVIME (le commissaire)

Gaston FLOQUET (le professeur)

Marie-France de SORBIERS (Claudine)

Gilbert DAMIEN (un agent)

Jean-Jacques DOUVAINE (2ème agent)

Thème : dans un grand ensemble, la Résidence du Gui, en Yvelines, un bricoleur électronique monte son propre circuit privé de télévision et produit ses émissions. Les habitants se transforment vite en reporters, speakerines, journalistes, comédiens, à commencer par le gardien Budart, première star de cette nouvelle forme de télévision.

Commentaires : après être resté 2 ans dans les placard de l'ORTF, le " feuilleton dérisoire " - c'était son titre original - d'André VOISIN est enfin diffusé, mais pendant l'été pour amortir quelque peu le choc. Basé sur l'improvision, l'ensemble souffre d'un manque évident de cohérence, malgré tout le talent d'André VOISIN à qui on doit la série LES CONTEURS. Mais curieusement ce téléfilm anticipe sur l'émergence des nouvelles technologies, créant une sort de YOUTUBE avant la lettre tout en proposant un portrait de GEEK à la française. Ce qui fait de ce ce feuilleton un exemple assez unique de modernisme ringard. Comme on le suppose, ce feuilleton s'attira les foudres des rares téléspectateurs devant leur poste durant certe période estival qui n'hésitèrent pas à braver la chaleur et à tremper leur plume dans le fiel pour se plaindre à la direction des programmes de ce qu'ils considéraient comme une mascarade.

Plusieurs épisodes sont disponibles sur le site de l'INA (www.ina.fr)


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30 juillet 2012 1 30 /07 /juillet /2012 06:54

pouchkine.jpgTéléfilm de 95 minutes 

Diffusion : samedi 29 juillet 1972 à 20h30 sur la 1ère chaîne de l'ORTF

Adaptation et dialogues de Jacques ARMAND

Réalisation : Jean-Paul ROUX 

D'après Henri TROYAT

Distribution :

Robert ETCHEVERRY (Pouchkine)

Jacques LALANDE (Benkendorf)

René LENOT (Bochniak)

Jeanne HERVIALE (Arina)

Jacques ALRIC (Valsh)

France DOUGNAC (Nathalie)

Jacques HARDEN (Nicolas 1er)

Victor LANOUX (Sobolevski)

Jacques BOUVIER (Ivan le voleur)

Josée DESTOOP (Alexandrine)

Anne SAINT-MOR (Catherine)

Janine CRISPIN (Mme Gondarova)

Gavriel CATTAND (Eeckeren)

Dorian PAQUIN (D'anthéa)

Fulbert JANIN (Joukovski)

Yvon CHENN (le journaliste)

Jacques GELAT (1er étudiant)

Christian FREGNET (2ème étudiant)

Alexis DUMAY (domestique d'Eeckeren) 

Jean-Pierre MOREUX (l'étudiant Zoubov)

Igor DE SAVITCH (le témoin)

Myriam BOYER (Frida)

Jacques ANDRIOT (le cocher)

Bernard GARNIER (Danzas)

Daniel RIGAN (D'Archiac)    

Georges BEAUVILLIERS (le domestique de Pouchkine)

Thème : le destin du grand écrivain russe POUCHKINe, considéré comme le plus français des écrivains russes, homme violent et emporté, mort en duel, mais à qui doit des chefs d'oeuvre immortels tels que BORIS GODOUNOV, LA DAME DE PIQUE ou encore LA FILLE DU CAPITAINE.

Commentaires : cette dramatique de qualité, librement inspirée de la biographie d'Henri TROYAT, a eu la malchance d'être diffusée en plein été, ce qui ne lui a permis de rencontrer un nombreux public. Robert ETCHEVERRY, plein de fougue, est parfait dans le rôle titre, et France DOUGNAC, comme toujours, est charmante dans le rôle de Nathalie. Toutefois l'ensemble reste un peu anecodotique, plus attaché au personnage lui-même qu'à son oeuvre.

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23 juillet 2012 1 23 /07 /juillet /2012 06:32
36-chandelles.jpgEmission de variétés 
Diffusion : samedi 15 juillet 1972 à 20h40 sur la 1ère chaîne de l'ORTF
Emission de Jean NOHAIN, André LECLERC et Dominique NOHAIN
Réalisation : Marcel CRAVENNE
Avec Maurice CHEVALIER
Fernand RAYNAUD 
Annie FRATELLINI
Félix PAQUET
Roger LANZAC
Alexandre RIGNAULT
GABRIELLO
Henri GUISOL
Robert MANUEL
Pierre-Jean VAILLARD
Juliette GRECO
Lucie DOLENE
Jean POIRET
Michel SERRALUT
Paul PREBOIST
Madeleine ROBIN
Silvana PAMPANINI
Jacqueline MAILLAN
Jean LE POULAIN
Robert HIRSCH
L'orchestre des chefs d'orchestre réunissant Paul DURAND, Richard BLAREAU, Camille SAUVAGE, Tony AUBIN, Pierre SPIERS, Hubert ROSTAING, Alix COMBELLE, Jerry MENGO Et
les commentaires de Georges DE CAUNES qui commente l'actualité de 1956
Commentaires : programmée dans la collection CE SOIR-LA, A LA TELEVISION, cette émission rend hommage à 36 CHANDELLES qui fut l'une des premières grandes émissions de variétés de la télévision française des années 50. Présentée en direct par Jean NOHAIN, dit Jaboune,, l'émission durait 3h30. De l'émission diffusée du théâtre de la Gaieté-Lyriqur le 30 janvier 1956, Pierre LOUIS et Gabriel ALOISI ont extrait une émission hommage de 1h20 en s'efforçant de conserver l'esprit " 36 CHANDELLES".
 
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15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 23:00

feuilled-erable.jpgFeuilleton de 10 épisodes de 50 minutes. Note : la diffusion française de ce feuilleton comportait bien 10 épisodes. Il semblerait cependant que d'autres versions comprenait 3 épisodes supplémentaires.

Diffusion: le lundi à 20h40 sur la 1ère chaîne de l'ORTF à partir du 10 juillet 1972 jusqu'au 11 septembre 

Oeuvre d'André-Paul ANTOINE

D'après une idée de Marie DESMARAIS

Adaptation de Reginald BOISVERT 

Musique et paroles de Gilles VIGNEAULT

Episodes :

1- La pucelle de Tadoussac, réalisation de Jean-Louis COLMANT, avec Monique MILLER (Jeanne Bellerose), Daniel PILON (Paul Cadet) , Jacques GALIPEAU (Simon Delarive), Vincent ROBERGE (Benoït Godelure), Jacques LETOURNEAU (Pierre Bellerose), Jacques LORAIN (Jean Bellerose), Monique JOLY (Maria) Raymond BELISLE (Bégourat) 

2-La croix du Mont-royal, réalisation de Aimée DENIS, avec Hubert NOEL (Maisonneuve) Clotilde JOANO (Jeanne Mance) Michèle ROSSIGNOL (Lucie Bellerose) Michel GARNEAU (Jean Bellerose), Guy THAUVETTE, Nathalie BREUER, Jacques THISDALE, Jérôme DECARTE, Yvon THIBOUTOT, Vinccent FOURNIER, Yvon LEROUX, Monique LEMIEUX, Claude PREFONTAINE, Louis SINCENNE et Jean-Guy VIAU. 

3- Un hiver brûlant, réalisation de Gilles CARLE, avec René BLOUIN (Lambert), Danièle NAUD (Tarihia),Guy SANCHE (le Père Chaumonot), Bernard LALONDe (le père Ragueneau), Donal PILON (Pierre Bellerose), Jean-Pierre COMPAIN (Chardon), Jean DOYOT (Bertou), Guy LECUYER (Marin).

4- La fille du Roy, réalisation de Denis HEROUX, avec Juliette MILLS (Nicole d'Astier), Jean COUTU (Roland Bellerose), José DESCOMBES (Simon Bellerose), Suzanne VALERIE (Simone), Jean BROUSSEAU (Jean), Jérome THIBERGHIEn (le chef Outaouais), Lise PAYETTe (mme Bourdon), Guy PROVOST (Bellinzani), Paul BERVAL (François-Marie Perrot).

5- 3000 soldats... un fils, réalisation de Jean-Pierre DECOURT, avec Yves LEFEBVRE (François Bellerose), Henri VIRLOJEUX (Frontenac), Annette PAVY (Anne Leblanc), Nicole MAUREY (Diane de Luth), Michel BEAUNE (Hazeur), Yves BRAINVILLE (l'amiral anglais), Gabriel CATTAND (Caillères), Jacques HILLING (Simon Bellerose), Jacques VERRIERES (Gagnon) 

6- Les caribous, réalisation de Jacques GAGNE, avec Dominique BRIAND (Louis Bellerose), Jacques GODIN (Mac Pherson), Marthe MERCURE (Ivaluk), Hugo WUETHRICH (Mattik) 

7- Le trésor du chameau, réalisation de Jean-Louis COLMANT, avec Sergie L'ITALIEN (Léon Bellerose), Elisabeth LESIEUR (Angélique Verrier), Benoît GIRARD (Louis Lenormant de Mezy), Yvon DUFOUR (Verrier), Yvon BOUCHARD (Rondel), Pierre BOUCHEr (M. de Saint ovide), Yves CANUEL (Jobin), Bertrand GAGNON (Carrerot), Andrée SAINt-LAURENT (Marianne), Marie-France BEAULIEU, Roger MICHAEL. 

8- Les Acadiens, réalisation de Denis HEROUX, avec André LACHAPELLE (Madeleine), Guy GODIN (André), Jean LECLERC (Pierre), Lionel VILLEUVE (Beauséjour), Yves LETOURNEUR, Francis DIONNE, Jérôme TIBERGHIEN, Christian DELMAS, Gaétan LABRECHE, Patrick PEUVION, Dominique LEFORT, Pat GAGNON, Louis AUBERT, André ROBERT. 

9- l'évadé, réalisation d'Aimée DENIS, avec François TASSE (Julien Bellerose), Carole LAURE (Anne-Marie Bellerose), Michèle MAGNY (Louise Bellerose), David SCHURMAN (Robert Stobo), Marthe THIERRY (Anne Bellerose), Jacques FAMERY (le chevalier Péan), Jean-Louis ROUX (le chevalier de Lévis), Monique LEPAGE (Angélique Péan), Hélène LOISELLE (Gertrude), Paul GUEVREMONT (xavier). 

10- L'audieu au Lys, réalisation d'Aimée DENIS, avec François TASSE (Julien Bellerose), Michèle MAGNY (Louise Bellerose), Carole LAURE (Anne-Marie Bellerose), Hélène LOISELLE (Gertrude), Paul GUEVREMONT (Xavier), Jean-louis ROUX (le chevalier de Lévis), David SCHURMAN (Robert Stobo), Luce GUILBAUT (Mme Barbe), Guy L'ECUYER (M. Barbe)    

Thème : du temps que le Canada s'appelait la Nouvelle-France, l'histoire d'une famille, les Bellerose, de 1601 à 1760, et à travers celle de tout un peuple qui n'a jamais cessé de se battre pour sa survie.

Commentaires : sur une musique et des paroles de Gilles VIGNEAULT, cette vaste fresque, sorte de GUERRE ET PAIX du Canada français, est tout autant une leçon d'histoire qu'un hymne à la liberté. Elle a nécessité un an de tournage et a employé 450 comédiens et 700 figurants indiens. Evidemment chaque épisode étant sous la responsabilité d'un réalisateur différent, l'ensemble manque d'homogénéité et l'intérêt varie selon la qualité des histoires - chaque épisode, en dehors des dernoers, peut se regarder de manière indépendante - et la qualité des interprètes. Parmi la très nombreuse distribution, on peut noter les présences de Juliette MILLS, Clotilde JOANO, Henri VIRLOJEUX et la très jeune Carole LAURE. 

 

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VOS MADELEINES DE PROUST

TELE 77 - LE LIVRE (NOUVEAUTE)

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TELE 76 – LE LIVRE

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