Emission (téléfilm + débat) de 105 minutes
Première diffusion : samedi 25 avril 1970 à 21h20 sur la 1ière chaîne de l'ORTF
D'après le récit d'Henri NOGUERES
Réalisation : Jean KERCHBRON
La projection du téléfilm est suivi d'un débat, mené par Henri NOGUERES, auquel participent des survivants de l'époque dont les six chefs de réseaux de la résistance et les 2 gardiens du camp qui
aidèrent à l'évasion.
Distribution :
Pierre TABARD (Bégué)
Gilles LEGER (Max Hymans)
Michel FORAIN (Guélis)
MONTCORBIER (Fleuret)
André REYBAZ (Pierre Bloch)
Bernard WAVER (Dupuy)
Martin TREVIERES (Rigoulet)
Antoine BAUD (Jumeau)
Fred PERSONNE (Le Harivel)
Pierre LONDICHE (Hayes)
Gérard JOURDE (Bouguennec)
Jacques HARDEN (Trotobas)
Yves BARSACQ (Langelaan)
Lionel BAYLAC (Breuillac)
Gabriel CINQUE (Pigeonneaux)
Jacques BRETONNIERE (Perrin)
Jacques DUBLIN (Raymond Roche)
Philippe CHAUVEAU (Liewer)
André FOUCHE (Le commissaire)
Gaston FLOQUET (Chantraine)
Jean-Claude MONTALBAN (Lambert)
Michel PUTERFLAM (Rachline)
Michel DEBRANE (Verden)
Michel DERAIN (Dupont)
Pierre FORGET (Le gardien-chef du camp)
Max MEGY (le gérant du mess)
Robert NOGARET (le gardien auxiliaire)
Pierre LECOMTE (le général)
Daniel HARLE (le gendarme)
Sébastien FLOCHE (le locataire)
Pierre REAL-RICHEZ (le gardien-chef)
Fabienne MAI (la locataire)
Maurice VALLIER (le directeur de la prison)
Renée DENNSY (la mère de Bloch)
Nicolle CHOLLT (la garde-barrière)
Jean RENOU (Premier prisonnier)
Christian FORGES (Deuxi-ème prisonnier)
Alain ROBIN (le chef de baraque)
Yves ELLIOT (le responsable communiste)
Jacques ANDRIOT (le premier gardien)
Thème : en 1941 et 1942, à Chateauroux, à Marseille, puis au camp de Mauzac, près de Périgueux, une doueaine de résistants sont parachutés en France par l'aviation anglaise. Arrêtés par la police
de Vichy et internés dans un camp de la zone Sud, ils réussissent une sensationnelle évasion et parviennent à regagner Londres. La plupart retournèrent ensuite en France pour constituer des
réseaux de résistance.
Commentaires : ce téléfilm est inspiré d'un épisode authentique de la résistance et décrit l'une des premières actions collectives importantes en zone libre. Il n'est pas sans rappeler le film
américain LA GRANDE EVASION, même si les moyens sont plus limités. L'interprétation, très sobre, est excellente et la mise en scène de Jean KERCHBRON se montre plutôt efficace.