Feuilleton en 6 épisodes de 55 minutes
Diffusion : tous les lundis à 20h30 sur la 1ère chaîne, à partir du lundi 26 février 1973
Scénario, dialogues, musique et réalisation de Lazare IGLESIS
Distribution :
Henri VIRLOJEUX (Tonton le grammairien)
André WEBER (Biceps la bricole)
Sylvie KUHN (Petite pomme)
Darian LEROY (Pifoyan)
Jean GRAS (Grouchbak)
et, selon les épisodes,
Mike MARSHALL (le prince Aurélien)
Jean FRANVAL (Varstilio)
Guy KERNER (le colonel Roland)
Antoine MARIN (le patron de bistrot)
Jean-Pierre JORRIS (Yakamoto)
Jean DAGUERRE (le viux Tang)
Michel CHARREL (1er gitan)
César TORRES (2ème gitan)
Marika GREEN (Helga)
Howard VERNON (Holm)
Jean-Pierre ZOLA (Fourmi)
Francois PERROT (le prince Ortola)
Conrad Von BORK (le chauffeur)
Tony RODEL (Muller)
Pierre MIRAT (Le chef Loukoumaelite)
Jean-Roger CAUSSIMON (Ashra-Pilou)
Jean BALTHAZAR (l'employé du vestiaire)
Christine FABREGA (Marie-Méjane)
Raoul CURET (le guide)
Roger TRAPP (le bedeau)
Clément HARARI (le chef de l'Ordre noir)
Louise ROBLIN (Jeanne)
Katia TCHENKO (Anne Vigorovna)
et
Muse DALBRAY
Jacqueline STAUB
Thème : deux sympathiques brocanteurs Tonton et Biceps sont contactés par leur ancen chef de la résistance, le colonel Roland, qui est envoyé par le Prince Aurélien pour engager les 2 hommes et les lancer à la recherche d'un secret d'une importance capitale : l'Alphomega. Une mystérieuse organisation secréte, la Tendance, dirigée par les chevaliers des Karpathes et dont les 2 hommes de main se nomment Les Loustics, va tenter de cntrecarrer leur projet. Heureusement ils vont bénéficier du concours de leur nièce, Petite Pomme et des armes secrètes offertes par le roi des Gitans : un parapluie truqué qui émet un gaz soporifique - le feuilleton n'avait pas besoin de cela! - et une boîte contenant 3 moustiques dressées à piquer les ennemis.
Commentaires : cette série à prétention humoristique est-elle, comme on l'a prétendu, le pire feuilleton jamais touné par l'ORTF? Entre un générique inepte, des acteurs qui cabotinent, des décors en carton-pâte, une intrigue qu'aurait pu écrire un enfant de 5 ans, une absence de rythme confondante, des dialogues d'une telle platitude qu'elle en devient étonnante, on s'étonne que la diffusion de ces 6 épisodes n'aient pas suscité une vague de sucide sur l'hexagone. Quelle mouche - ou plutôt quel moustiqe - a bien pu piquer Lazare IGLESIS pour réaliser cette triste pochade ? Ne reproduit pas SIGNE FURAX qui veut. Il manque ici toute la folie et la démesure d'un Pierre DAC ou d'un Francis BLANCHE.